Les auteurs de romans policiers seraient-ils superstitieux ? On pourrait le penser, puisque c’est la mairie du 13° arrondissement de Paris et l’association 813 qui organisent, du 18 au 21 novembre 2011, le festival « Paris Polar ». Si l’on ne compte plus le nombre de salons consacrés au roman policier, dans la capitale, c’est le seul qui semble vouloir résister aux ans : c’est le huitième. Je suppose que le 13° sera un événement exceptionnel…
Demain vendredi, c’est la journée des tables rondes. On doit y parler des femmes qui tuent (10 à 13 % des meurtres, tous pays confondus), avec la projection d’un court-métrage de Stéphane Bourgoin réalisé dans une prison allemande : l’interview d’une tueuse en série. Et, en présence de l’écrivain islandais Arni Thorarinsson, il sera aussi question du best-seller Millénium et de son effet boule de neige sur le polar nordique.
Samedi après-midi, une quarantaine de romanciers dédicaceront leurs livres. Et dimanche, pour les volontaires, balade dans les « mystères et brouillards du 13° » sur les traces de Léo Malet, le père de Nestor Burma, le célèbre détective de l’agence Fiat Lux.
Un petit mot de l’association 813 qui participe à l’organisation de ce festival. Créée en 1980, elle porte le nom d’un roman de Maurice Leblanc dans lequel il tente de tuer son héros, Arsène Lupin, le gentleman-cambrioleur. L’objectif premier de cette association est de faire partager au plus grand nombre la passion commune de ses membres : la littérature policière.
Quant aux policiers, s’ils sont très présents dans la publication de documents ou de récits, ils sont peu nombreux à avoir franchi le pas de la fiction. En cherchant bien dans la liste des participants, on doit quand même pouvoir en trouver un ou deux. Et même un juge…
36 réponses à “Le polar à Paris 13”
avec la moutarde et l’emotion que ça procure on se demande comment sargent a fini chez Booze.
Les auteurs de romans policiers seraient-ils superstitieux ?J’aime vraiment. Vous avez touché mon c?ur! Nos bénévoles des oies, et commencer une nouvelle marque, dans nos programmes sociaux. Votre site fournit des informations précieuses sur la peinture. Vous avez fait un processus difficile, la communauté devrait vous en remercie.
Petit Résumé de la journée polar à Paris 13 :
Bien sûr, comme il l’avait promis Gary n’est pas venu : il a arrêté le salon littéraire il y a 3 minutes. Bravo Gary, il nous dit ça comme s’il se présentait aux AAA !
Untel non plus n’est pas venu. Fidèle à sa parole, tel un poilu un peu cabot, il promenait ses godasses en cherchant des loirs dans le crin d’son chien !
Lui ? à côté ? ben, ch’ais pas l’Albu : je crois que c’est le râleur de service qu’on n’invite jamais, cause qu’il critique toujours sans proposer de solution.
Y avait-il de la lumière ? Je crois que l’Albu a mis ses lunettes à verres jaunes, qui donnent la bonne couleur au temps. Parce que moi, je me souviens bien d’un truc :
Tel un aveugle braille, alors que Jésoussss crie, Maître Mo arrêtait pas de « déconvaincre » l’Albu que le blog de Moréas… il n’y peut rien. Soph’ a été obligée de faire sa déballe pour reclaquer son bouquin à l’Albu.
Oui, oui, je parle bien de l’Albumine, cet auteur anonyme venu se présenter sous les traits d’un être modeste, plein de retenue et de spontanéité. Quand l’Albu a rencontré Soph’… que se sont dit ces deux là ?
– Ben comment vous m’avez reconnue ?
– Au cheval ! et vous ?
– ha… votre tutu en coquilles d’oeufs et la colonne ionique sous le bras pour qu’on soit deux à être perchées, je ne pouvais pas vous louper !
– On joue à chat ? Y’a du monde, hein !
– Oui, il y a même du champagne, du jus do, des petits gâteaux et des clémentines. Alors, c’est pour dire si on est bien reçu au salon du polar !
– La table ronde c’est comment ?
– Un type assez carré mène la danse. Plutôt, il se croit en hiver : il dit que le polar nordique fait boule de neige.
– ça fait froid dans le dos !
– moi, ça me glace le sang.
– gelée pas vu !
– moi non plus. Y m’a demandé ma cagoule.
– Un corse ?
– nan, un timide ! ou alors une sorcière. »
Tu vous vois Untel, y’avait rien de grave. Avec ou sans clébard l’aurait pu venir promener ses souliers sur les berges de la Seine : y’avait aussi un lapin crétin !
Et pour les mesquins qui croient que le passé ne compte pas… Moi, je me dis que ça construit l’avenir de mes souvenirs.
Il y a des doigts qui croisent des voix pour se rappeler combien AVANT on a pu être bien aussi et partager un peu de bonheur avec un alter pas si égo, parfois inconnu, des gens bien et de bonne compagnie. Jamais un Mo plus haut que l’autre ; une main tendue vers le bonheur et le plaisir, un regard d’espoir, du rire et des photos…
Tout ça dans mes souvenirs d’yeux malvoyants. Alors, la laideur, je ne la vois pas.
Je tombe par hasard sur votre chronique du salon du polar (je reviens rarement sur les lieux de mes précédents forfaits/commentaires). Merci pour cette évocation impressionniste et poétique de la journée. Je vais pas me plaindre que le tableau manque un peu de précision puisque, nous allons le dire en choeur : « j’avais qu’à venir ! ».
Bonjour,
Sauf pour information, avant de publier des livres en PMS… . J’ai commencé par des nouvelles en 1995… Puis mes nouvelles ont augmenté de pages pour devenir des romans. Bref, j’ai publié 13 titres de polars, ainsi que des ouvrages sur d’autres sujets.
Concernant mes fautes d’orthographes, j’assume complètement ! Du reste combien d’auteurs se font relire et corrigés avant publication.
Le visiteur a sans doute été très satisfait du lieu et de pouvoir rencontrer des auteurs. Je ne remet pas en cause cela.
Je remet en cause l’organisation et la communication de ce salon. La langue de bois est très prisée dans ce milieu de peur de ne pas être invité l’année suivante. Ma liberté de ton me permet de l’ouvrir quand c’est nécessaire. Et tant pis, si on ne me ré-invite pas en 2012.
Des solutions il y en a plusieurs évidemment. La liste est longue 🙂 Premièrement de faire en sorte que tous les auteurs ne se barrent pas 2h avant la fin du salon. Un minimum pour respecter les visiteurs et les auteurs qui sont resté jusqu’au bout.
Une autre explication aussi du peu de fréquentation de ce salon c’est qu’au même moment, il y avait le Salon des éditeurs indépendants. Certes à Paris, il y a tous les week-end des manifestations… Mais il fallait à mon avis prendre en compte ce paramètre.
Je regrette surtout l’absence du public populaire du XIIIe. J’ai appris aussi que la mairie du XIII avait pour obligation de déléguer la communication à une agence.
Qu’un salon qui démarre sa 1ère édition puisse avoir des ratés. C’est logique, on corrige les défauts aux années suivantes. Il parait que c’était la 8ème édition de Polar Paris.
Le week-end prochain, je fais une troisième sortie :
La Ferté sous Polar (La Ferté sous Jouarre) le samedi 26 novembre
http://www.la-ferte-sous-jouarre.fr/culture/206.html
A suivre…
Bonsoir,
J’ai donc testé le Polar Paris à la mairie du XIIIe. Si certains auteurs étaient très content de leur journée, ça n’a pas été le cas pour tout le monde.
En ce qui me concerne, je me suis retrouvé tout au fond, et dos au public. On a même tenté de m’éjecter de ma place initiale.
Je me suis dit ça commence fort !
Si les tables des premiers auteurs étaient disposées d’une manière classique, qui permettaient la fluidité. Il en a été tout autrement dans la seconde moitié de la salle. Les tables étaient disposées comme dans une classe scolaire des années 60. Le public devait alors slalomé pour espérer découvrir tous les auteurs.
Conclusion : j’ai vendu aucun livre. Même si je sais par expérience que cela peut arriver. Personne est à l’abri de cette mésaventure. L’organisation complètement invisible. D’habitude quand vous débarquez dans un salon, il y a un petit comité d’accueil qui vous remet votre badge avec votre nom d’auteur et l’on vous indique l’emplacement. Ici, vous rentrez comme dans un moulin et vous cherchez votre place.
Certes la salle est au 2ème étage, mais sur la façade de la mairie on découvre discrètement une banderole à droite, pas au centre. C’est dire qu’avec ce type de signalétique intimiste, ça va faire venir le public populaire du XIIIe et d’ailleurs.
Quand au public, dès fois je me suis demandé s’il n’y avait pas plus d’auteurs que de public. J’ai eu aussi l’impression de voir des tables sans auteur. Je serais curieux de savoir combien coûte cette manifestation aux contribuables du XIIIe.
Polar Paris est un salon pour bobo avant tout. Le public populaire du XIIIe inexistant. Certes, il y a eu des manifestations tous le long dans la semaine dans le XIII. Polar Paris n’a pas vraiment vocation de vouloir renouveler le lectorat du polar. On se fait juste plaisir sans vraiment penser aux générations futures.
Conclusion : C’est pas de si tôt qu’on me reverra dans une manifestation culturelle dans le XIIIe. Pourtant, j’ai trainé le macadam du XIIIe depuis tout môme et j’y crèche encore…. Aujourd’hui, j’aurais du resté dans ma boutique à rencontré Mr tout le monde pour l’incité à découvrir des livres et occasionnellement ma production sans la coupe de champagne cela va de soit.
@ Phil Marso :
On comprend pourquoi vous écrivez en sms. En lisant votre post…
quant à l’organisation que vous décrivez… on comprend aussi que vous n’ayez pas été convié plus tôt.
mais quelle solution proposez vous donc ?
Un visiteur satisfait et qui a pu discuter et acheter beaucoup d’ouvrages !
au salon du polar donc, il y avait de la lumière, je suis entrée et j’ai vu Soph’ et son Maître Mo, tellement lumineux que ça m’a fait mal aux yeux
***** Christine Rogier – Mercredeuils *****
*****Georges Moréas – Un flic de l’Intérieur*****
untel, bisque bisque rage
Heureusement qu’il y avait de la lumière ! C’eut été suspect, Maître Mo et Soph’ dans le noir. Vous avez donc ramené deux bons bouquins et le souvenir agréable d’une rencontre exceptionnelle. Le commissaire a certainement dû vous dire combien votre présence féminine, et celle de Soph’, valorisaient son blog. Je le dis à mon tour. A bientôt pour la suite de nos rencontres virtuelles sur les nombreux blogs du Monde.
à bientôt untel, affutez vos arguments comme vous aimez le faire et un petit bisou à vos chiens de ma part !
M’enfin ?! l’Albumine ??? ça veut dire quoi, ça ? Vous aviez vos lunettes de cheval de troie ou quoi ?
Soph’
cheval de troie !!! comment ça ? je me suis si mal exprimée
en vérité j’ai des lunettes roses et de drôles de visions parfois, comme celle de deux anges, l’un avec une épée, l’autre les mains nues
aveuglant !
bon je me tais, ça vaut mieux, et je retourne à mes lectures (pour l’instant)
Bjr l’Albu !
Non, je vous taquine. Vous étiez très bien de spontanéité et de retenue mêlées, un ange d’innocence partant pour son envol.
L’épée est dans le soc et les mains sont pleines de cette nudité innocente.
Ne quittez pas vos lunettes, vous risqueriez de ne plus voir que la réalité.
Et notre rêve, faut quand même aller le chercher, hein !
@ bientôt
🙂
histoire de péter la folle ambiance de ce blog, allez, tournée générale : verre d’eau plate pour tout le monde !
Après, je fais la vaisselle.
Au plaisir de vous rencontrer à la salle des fêtes de la mairie du XIII !
A c’t’heure… ça va pô êt’ facile, hein Eddy !
Soyez à l’heure Eddy
Eddy est à l’heure… Eddy est à l’heure, Eddy est à l’heure
Quand arriverons-nous Eddy ? Tôt !
Scions du bois pour Eddy ! Oh oui Eddy, scions
Il a des enfants Eddy ? Oui, un garçon qui s’appelle Eddy Fils
Que boit Eddy ? Thé, merci !
ça n’arrête pas, hein !
On s’amuse, comme des oufs
Il est vrai que les salons Polar, ça fait tribu. C’est pour cette raison que je refusais les invitations. Quoi que, on ne m’invitait pas souvent. 🙂
Ayant vécu depuis pratiquement ma naissance dans le XIIIe, excepté pendant 8 ans… C’est ma première sortie dans une manifestation culturelle dans le XIIIe en tant qu’auteur indépendant. Comme quoi, il ne faut pas désespérer….
Du reste, le N°13 m’est très familier depuis ce mois de juillet. Puisque j’ai ouvert une boutique au N°13… Bd Saint Marcel.
Je viendrais avec un polar très insolite : 6’lens ! on m’Errrr !. Après avoir publié le 1er livre SMS en 2004. 2005, j’invente la P.M.S (Phonétique Muse Service). Un dérivé du SMS en plus structuré, plus élaboré pour aider les ados en difficulté par des exercices de traduction PMS / SMS.
6’lens ! on m’Errrr ! est bilingue : page de gauche en PMS, page de droite en français.
A demain !
@ Phil Marso
Vous auriez dû écrire : @2m1 !
@phil marso:
il y a une chose qui m’a beaucoup surpris sur le blog de Monsieur Moreas, c’est qu’il dise du bien de ses confrères (et concurrents, à une époque où les ventes de livre sont en baisse). J’ignore si c’est une particularité individuelle , ou si tous les auteurs de polars se témoignent entre eux la même bienveillance
La formulation « millenium et son effet boule de neige sur le polar nordique » est, me semble-t-il, trop gentille: « millenium » a fait une bonne publicité pour les polars scandinaves,; cependant, quoique ayant beaucoup apprécié millénium, je n’ai pas apprécié les autres polars (leur publicité revendiquait la même origine que millénium, et impliquait que, si on partage l’origine d’un succès, on est talentueux).
Une formulation plus cynique serait « effet boule de neige sur les ventes de polars nordiques ». Elle serait plus réaliste si je ne me trompe.
Le 13 iem flic !!!!!!! mortel ,le capitaine nain MO sera là il va y avoir du rififi dans l’air .Embouteillages D’enfer !!!!!
Perso, ch’uis pas superstitieuse : ça porte malheur !
Mais, mais… si je ne me gourge, Maître Mo y sera ?!
Diantre, rien que pour voir sa bobine en vrai… j’irai !
moi aussi, j’espère pouvoir y aller, mais comme j’assume mal certains commentaires idiots que j’ai pu laisser sous mon pseudo (du genre de celui-ci), et puis que j’ai l’intention d’en laisser d’autres à l’avenir, je me présenterai peut-être lâchement sous mon vrai nom pour rester anonyme, ou mieux… sous le nom de soph’
j’hésite
@ L’Albumine :
Oh oui, soyez lâche. Venez donc vous présenter sous votre vrai nom. Pour ne pas qu’on vous reconnaisse, mettez un masque de Maître Mo et cousez votre nom sur votre cagoule, comme dans Inspecteur La Bavure.
Mettez seulement l’initiale de votre prénom, suivi de votre nom :
A. Nonyme.
Ce serait trop drôle que sur une dédicace qu’un de ceux là vous ferait, il y inscrive votre pseudo.
Une vraie dédicace bien personnalisée.
Et puis, si vous êtes vraiment antipathique, venez deux fois : on se jètera des œufs !
Au plaisir de ne pas vous rencontrer, donc !
à Soph’
oui oui, j’avais pensé à la cagoule (costume traditionnel de mon pays) mais je crains une mauvaise réaction des copains policiers de M. Moréas qui pourraient passer par là… je sais bien que ça pourrait être drôle, mais pas pour moi, c’est plus de mon âge, je ne cours plus assez vite
un indice : j’ai plein de cheveux sur la tête
mais vous, dites-moi, comment je fais pour ne pas vous reconnaître ?
porterez-vous un costume de la grèce antique ?
Bien sûr, un vrai corset de marque A. TAINE, un corset pour contenir ma grèce en tique.
Vous ne me reconnaîtrez pas difficilement : je serai montée
sur une colonne dorique. J’aurai sous le bras un cheval en bois
et on se croira dans un cirque.
Avec tous ces lions d’éditeurs !
je vous trouverai
@Lalbumine
Je ne savais pas que vous étiez Corse.
C’est bien d’avoir des cheveux sur la tête, mieux que de les avoir dans la soupe (loi de la relativité d’Einstein).
Je suis trop (très) provincial depuis que j’ai fui Paris il y a pas mal d’années. Vous ne m’apercevrez donc pas. Saluez le commissaire de ma part (dès fois qu’il ne lirait pas les messages de son blog :)).
Bon Salon et vive le Polar !
@UNTEL : PI-TOY-YABLE !
vous aviez là une occasion unique de rencontrer en chair et en os à moelle le maître des lieux et vous lui faites faux-bon !
Je n’ai qu’un seul mot : beurk !
M’enfin Untel,… vous loupez une occasion exceptionnel. Ce commissaire sera comme la comète. Son prochain passage sera… allez dans longtemps !
quant à l’histoire des cheveux sur la tête, je ne suis pas du tout d’accord avec vous : pour ma part, je me suis rasé le crâne il y a bien longtemps.
J’aime être avisée la première quand il pleut.
Vous avez des idées, tout de même !
Adieu, donc. Je ne vous y verrai pas. Pourtant, on avait prévu de se jeter des oeufs !
Quelle omelette, vous nous faites là !
à untel
ben oui, corse, c’était le 2ème indice sur 3, vous auriez fait un bon détective au salon du polar !
les indications laissées par Soph’ j’y crois à moitié, crâne rasé, en corset avec un cheval sous le bras…
bon, j’y vais
Oui, Soph’, je me sens un peu penaud sur ce coup là.
De manquer au plaisir de rencontrer le commissaire (réincarnation dans mon imaginaire de San Antonio), de découvrir mes amis du blog et de renouer avec ma jeunesse qui s’est construite AUTOUR des polars (Maurice Leblanc, Conan Doyle, Léo Malet, Frédéric Dard, James Hadley Chase etc).
Je conseille à Lalbumine de vous fixer un rendez-vous car, entre le 18 et le 21 novembre, l’attente sera longue, à moins que vous échangiez votre cheval sous le bras contre un sac de couchage.
En promenant mes chiens ce week end sur les bords de Loire je penserai à vous avec tendresse et amitié. Portez-vous bien Soph’ et à bientôt pour nous faire un reportage de votre voyage au pays du polar.
ooh chouette !
J’ai arrêté d’aller dans les salons littéraires. Je les trouve de plus en plus ennuyeux pour ma part…
@ Bonjour Gary.
J’ai commencé avec les salons littéraires il y a longtemps. C’est grave ?
Faut s’arrêter ou on risque l’intox ? ça se soigne ?