Suite du roman-feuilleton, chapitre V – Après un dernier examen, le docteur Versoparitch m’avait dit que rien ne justifiait plus mon hospitalisation. Il m’avait prescrit des anti-inflammatoires, et, nous traçant un passage au sein d’une cohorte de femmes et d’hommes en blouse blanche, gentiment il m’avait raccompagné jusqu’à la sortie. Le service des urgences était en grève et dans l’hôpital l’ambiance était surchauffée. Malgré la tension, durant mon séjour, le personnel hospitalier s’était montré plutôt aimable avec moi. Pragmatique, j’en avais conclu que mes tracasseries avec la police me rendaient éminemment sympathique. Dans ce contexte, la moindre des choses était de montrer que j’étais un homme… policé…
Chapitre V -fermé
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